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Charlie Hebdo vu d'Allemagne

Travaux des élèves du landesgymnasium

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Qu’est-ce que c’est, Charlie Hebdo?

 

Charlie Hebdo est un journal hebdomadaire satirique français. Faisant une large place aux illustrations et notamment aux caricatures politiques, il pratique aussi le journalisme d'investigation en publiant des reportages à l'étranger ou sur des domaines comme les sectes, l'extrême droite, le catholicisme, l'islam, l'islamisme, le judaïsme, la politique et la culture. Le nom « Charlie » est descendu de la figure Charlie Brown de la BD des Peanuts et attire l’attention sur l’origine du journal au genre des BDs ou au président Charles de Gaulle. « Hebdo », c’est une abréviation pour le mot « hebdomadaire ».

« Charlie Hebdo » était fondé en 1970, la ville d’édition, c’est Paris.

La rédaction est composée de journalistes et de dessinateurs, qui sont aussi des chroniqueurs. De mai 2009 jusqu'à sa mort le 7 janvier 2015, le directeur de la publication était le dessinateur/chroniqueur Charb.  Le vrai nom de Charb, c’est Stéphane Charbonnier, né le 21 août 1967. Il était un dessinateur satirique et journaliste français. Il est entré à Charlie Hebdo en 1992. Mais ses dessins apparaissaient aussi dans quelques autres différents journaux et il a publié plusieurs ouvrages.

À partir de mai 2009, le directeur de la rédaction est le dessinateur Riss avec pour adjointe la journaliste Sylvie Coma. Riss, de son vrai nom Laurent Sourisseau, est né le 20 septembre 1966. Après des études de droit, il a publié ses premiers dessins en 1991. Depuis le 20 janvier de cette année, Riss est aussi le directeur de la publication, mail il reste également le directeur de la redaction.

 Enfin, le dessinateur Cabu était, jusqu'à son assassinat le 7 janvier 2015, directeur artistique de l'hebdomadaire satirique.Cabu, de son vrai nom Jean Cabut, était un caricaturiste et dessinateur de presse. Il est né le 13 janvier 1938. Créateur des personnages du « Grand Duduche »[1], participant aux équipes de certains journaux satiriques, il collaborait en outre à plusieurs émissions de télévisions aussi bien de débat (avec « Droit de réponse »[2]) que pour enfants (avec « Récré A2 »[3]) qu’il a illustré en direct.

 La rédaction en chef est assurée par le journaliste Gérard Biard. Il est un journaliste français, né en 1959. Depuis 1992, il est un membre de la rédaction de « Charlie Hebdo » et il est aussi l’un des trois porte-parole du réseau « Zéromacho »[4].

Catherine et Luz sont directeurs artistiques. Catherine Meurisse, née le 8 février 1980, est une illustratrice, dessinatrice de presse et scénariste. Luz, le pseudonyme de Renald Luzier, est un caricaturiste de presse, né le 7 janvier 1972. Il ne collabore pas seulement à « Charlie Hebdo », mais aussi à « Fluide glacial »[5] depuis 2003. 

 

Histoire

Le prédécesseur de « Charlie Hebdo », c’était l’hebdomadaire « L’hebdo Hara-Kiri », qui était issu de « Hara-Kiri », un magazine d’anarchie, qui était apparu mensuellement et qui était interdit un bout de temps. Mais il n’y avait pas beaucoup de lecteurs qui ont lit « Hara-Kiri »  et pour cette raison-là, le magazine est cessé en 1986. Après « L’hebdo Hara-Kiri » était interdit en 1970, les collaborateurs initiaux  de « Hara-Kiri » ont fondé l’hebdomadaire « Charlie Hebdo ». Mais à cause de problèmes avec le financement, l’édition hebdomadaire était cessé en 1981 après l’apparition du numéro 580.

En 1992 la rédaction de « Charlie Hebdo » a fait revivre et après le magazine satirique « Le Canard enchaîné », c’est le magazine satirique le plus important de la France.

 

En 2006, « Charlie Hebdo » était un de certain magazine, qui ont reproduit et agrandit les caricatures Mohammed, qui étaient publié par le magazine danois « Jyllands-Posten ». Après cela, le monument de la rédaction était gardé par la gendarmerie. L’association « Conseil français du culte musulman » a porté plainte contre « Charlie Hebdo », mais la justice parisienne a libéré le magazine du reproche.

Mais ce n’était pas la seule plainte contre «Charlie Hebdo ». Par exemple en 2010, le magazine a gagné un différend contre une organisation ultra conservatrice catholique. Cette organisation a dit, que le discours du pape était déplacé dans un contexte pédophile. Ce n’’était pas la seule plainte de l’église catholique, l’église a perdu 14  procès contre « Charlie Hebdo ».

 

Attentats

Il y avait plusieurs d’attentat contre la rédaction de « Charlie Hebdo ».

Un de ces attentats était commis le 2 novembre 2011. Il était connecté avec l’empreinte d’une caricature de Mohammed sur le titre de l’édition actuelle. En plus, le site Internet était piraté. Un Group des pirates informatiques turcs avec le nom „Akıncılar“[6] a avoué dans l’hebdomadaire « Nouvel Observateur », qu’ils ont piraté le site Internet, mais ils ont dit, qu’ils n’ont pas commis l’attentat. En outre, Charb a parlé des e-mails de menace, qui l rédaction a obtenu, jusqu’ avant la date de parution d’une édition spéciale sur les premières élections en Tunisie à cause du succès des islamistes. Cette édition spéciale a fait des allusions à la charia[7] et à cause de cette raison-là, la rédaction a appelé l’édition « Charia Hebdo ». En plaisantant, la rédaction en chef était assuré par Mohammed et la caricature sur le titre était dessiné par Luz avec les mots : « 100 coups de fouet, si vous n’êtes pas morts de rire ». Après l’attentat, Charb a engagé à des soutiens financiers dans un vidéo devant le bureau détruit de la rédaction.

Dans les médias, « Charlie Hebdo » a répondu avec une caricature du dessinateur Luz sur le titre de la prochaine édition. La caricature représente un musulman et un caricaturiste de la rédaction, qui porte un t-shirt avec les mots « Charlie Hebdo », qui s’embrassent très forts. Le titre de cette caricature, c’est « L’amour plus fort que la haine ». Le public français a réagit avec beaucoup de solidarité. Plusieurs associations de presse, le Conseil français du culte musulman et certains politiciens ont condamné l’attentat.

 

La Critique

Depuis son début, le magazine satirique est critiqué par différents partis, particulièrement des remplaçants de quelques religions. Particulièrement à cause des caricatures avec Mohammed, il y avait de la critique forte et des protestations dans certains pays islamiques.

Le ministre-président de la Turquie Ahmet Davutoğlu par exemple a trouvé, que la caricature de Mohammed sur le titre de l’édition de « Charlie Hebdo » après l’attentat est une provocation très forte est une injure du prophète. Aussi le pape Franziskus a critiqué le magazine : à l’occasion d’une visite sur les Philippines il a dit, qu’on n’ pas la permission de se moquer d’autre religions. 

 

Théresa 

 

[1] C’est un personnage et une série de bande dessinée humoristique, qui est apparu dans le journal « Pilote » en 1963

 

[2] C’est une émission de débats télévisés polémiques en direct, diffusée sur TF1 entre le 12 décembre 1981 et le 19 septembre 1987.

 

[3]C‘est une émission pour la jeunesse diffusée par Antenne 2 du 3 juillet 1978 au 29 juillet 1988.

 

[4] C’est un réseau international d’hommes luttant contre la protitution et pour l’égalité entre des femmes et les hommes

 

[5] C’est in magazine de bande dessinée humoristique, fondé en 1975.

 

[6] = les cavaliers fougueux d’empire ottomane

 

[7]C’est la loi d’Islam 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Présentation de Julia

 

 

How the terrorist attack of Charlie Hebdo influencesthe freedom of speech and of the press

 

Bonjour je m’appelle Yasmin et après la présentation de Julia, je voudrais me concentrer sur les conséquences de l’attentat au niveau de la liberté d’expression. Je vais présenter en anglais.

 

It is not the first time that somebody had threatened “Charlie Hebdo”. In 2011, the editorial apartment was set on fire, because they presented Mohammed saying “100 coups de fouet, sivousn’êtes pas morts de rire!” astheir special edition coverpage.

Satirical magazineswant to get us to think differentlyabout certain situations. But some people think that this time the magazines provocation was too much. They say that criticism has to stop before a religions honor is hurt. The magazine noticed early on that the Islam is a kind offorbidden subject that should not bemade fun of. Hoping to reawaken the discussionof this subjectthey beganproducingoffending cartoons about the Islam. And they are allowed to do this. The right tofreedom of speech and of the press allows us to insult religions. We do not have to like satirical jokes, but nevertheless, violence is not a solution.

 

The “March of Solidarity” that took place in Paris commemorates the attacks victims. At the same timethe marchdefends the freedom of the press and speech. With the sign “Je suis Charlie” people show that they are as free as the magazine Charlie Hebdo, free to their own opinions and free to write. The writing “Paris est Charlie” tells the whole worldthat the population of France fights for its rights and never gives up. Evenin Berlin people demonstrate. These demonstrations give journalists the power to continue writing articles. At the same time the freedom of speech and of the press gains a more important meaning for democracy. Before the attack happened, the freedom of the press was certain within society. Only afterwards do most of us beginto realize the importance of the freedom of speech and the press in a democraticcountry.

 

Now it is especially important for journalists to write articles, and not to be intimidated by the attack. Many journalists fear that they could be the next victim of an attack similar to the one in Paris. This restricts the freedom of opinion and of the press, as a frightened person cannot live free. The demonstrations are about showing the world that the Democrats are still free.The surviving journalists had the courage to yet again set a cartoon of Mohammed as their cover page. It shows a crying Mohammed holding the sign “Je suis Charlie” and the heading “Tout estpardonné”. This is an appeal for all journalists to give them back their courage.

 

Not all magazines want to live with the fear of being the next attack’s victim. A British magazine, for example, decides tono longer release hostile articles and pictures about Muslims. This restriction promises a fearless life, but in the same time the magazine’s journalists lose some of their right of freedom of the press. Unfortunately there are other magazines who value safety more than freedom. They are asking themselves: “How much are we allowed to write, without making a negative impression?” This insecurity is a consequence of the attack in Paris and dangerous for the freedom of speech and of the press. This is a problem in times where it is important to fight for our freedom.

 

Yasmin Then

 

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