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CONCLUSION

Avec l'occupation de nombreux réseaux de Résistance se forment et font tout pour informer les populations. Les résistants déploient alors de grands moyens et se mettent à collecter des informations pour la rédaction, ainsi que du matériel nécessaire à la formation de cette presse clandestine. La diversité de cette presse reflète la diversité des mouvements de résistance avant leur union dans le cadre du Consil national de la résistance (CNR). Au sein de cette résistance, certains auteurs se distinguent parmi tant d'autres. C'est le cas d'Anna Marly, de Maurice Druon, de Joseph Kessel, à l'origine du Chant des Partisans. Parmi tous ceux qui ont permis de faire vivre cette presse clandestine, on peut citer Jeanne Daguzan qui travaillait pour l'Imprimerie Moderne à Auch. Enfin il faut souligner le courage exemplaire de ces personnes qui ont mis leur vie en danger face à la répression qui pesait sur la France de 1940 à 1944.

Certains ont même été déportés voire décapités comme Raymond Deiss qui publie en 1943 l'un des premiers journaux clandestins.

Ce thème est en parfaite adéquation avec le projet « La culture e[s]t le pouvoir » car à travers des ouvrages tels que des livres mais aussi des poésies, les auteurs ont pu transmettre un grand nombre d'informations destinées à contrer le pouvoir de Vichy et de l'occupant en s'opposant à la propagande alors en cours.

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